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Trois avancées technologiques pour les exploitations agricoles canadiennes


(EN) L’agriculture se démarque depuis toujours par l’amélioration continue des techniques et des rendements. Voici trois exemples de progrès qui aident les exploitants agricoles d’aujourd’hui à protéger notre sécurité alimentaire.

Des maisons en verre. Les serres existent depuis longtemps, laissant entrer la lumière du soleil et emprisonnant la chaleur afin de protéger les cultures du froid. Leur conception, toutefois, est en constante amélioration.

Les serres modernes ne se limitent plus au captage de la lumière solaire, elles emploient aussi diverses sources de lumière artificielles pour augmenter le rendement. La croissance des tomates et des concombres, par exemple, est stimulée par les DEL, tandis que les laitues préfèrent l’éclairage au sodium. De plus en plus de serres sont munies de plafonds de verre diffusant pour assurer que toutes les plantes bénéficient d’une exposition égale à la lumière solaire. Depuis 2000, cette technologie, conjuguée à d’autres avancées, a multiplié par cinq la production de fruits et de légumes dans des environnements contrôlés, comme les serres.

Une agriculture numérique. De plus en plus d’agriculteurs profitent des technologies modernes pour accroître leurs rendements. Des capteurs dans les champs, par exemple, alimentent des tableaux de bord de renseignements en temps réel sur l’état des cultures afin de permettre une prise de décisions plus éclairée sur des sujets comme l’irrigation et la lutte contre les organismes nuisibles.

Certaines exploitations intègrent des systèmes s’appuyant sur l’IA qui peuvent analyser les données des capteurs pour alimenter la planification des plantations et des récoltes, ou même gérer de façon réactive les conditions dans leurs entrepôts pour éviter les avaries. Comme les autres entrepreneurs, les agriculteurs tirent profit d’une approche fondée sur les données pour prendre leurs décisions.

Préparation à la prochaine tendance du marché. Il ne suffit pas de planifier les cultures de la prochaine saison. Les exploitants agricoles doivent penser à plus long terme et tenir compte de l’évolution des préférences des consommateurs. C’est pourquoi ils sont de plus en plus nombreux à planter plus de protéines végétales, comme le soja ou les lentilles.

Un autre secteur de croissance est celui des biocombustibles. Certaines fermes de la Saskatchewan cultivent des saules et des peupliers indigènes à croissance rapide afin d’obtenir, pour le chauffage de leurs serres, des combustibles produisant moins d’émissions de carbone que les combustibles fossiles. Un autre type de biocombustible est la graine de caméline, apparentée à la moutarde et au canola, qui contribue de surcroît à prévenir l’érosion des sols et nourrit les pollinisateurs printaniers.

Grâce à leur expérience, à leur savoir-faire et à leur volonté d’innover et de se préparer pour l’avenir, les agriculteurs gèrent leurs risques, font croître leur exploitation et maintiennent l’agriculture canadienne à la fine pointe des tendances.

Pour en savoir plus, allez à rbc.com/agriculture.


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